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Les écrits de Stef
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Stefinside



Inscrit le : 17 Mai 2005
Messages: 21

Message Posté le : 17 05 2005 - 15:40    Sujet du message: Répondre en citant

Je veux vous parler
de l'arme de demain
Enfantée du monde
elle en sera la fin
Je veux vous parler de moi,
de vous
Je vois a l'intérieur
Des images, des couleurs
Qui ne sont pas a moi
qui parfois me font peur
Sensations qui peuvent
me rendre fou
Nos sens sont nos fils
nous pauvres marionnettes
Nos sens sont le chemin
qui mène droit a nos têtes

La bombe humaine
tu la tiens dans ta main
Tu as l'détonateur
Juste a cote du c?ur
La bombe humaine
c'est toi elle t'appartient
Si tu laisses quelqu'un
prendre en main ton destin
C'est la fin, la fin

Mon père ne dort plus
sans prendre ses calmants
Maman ne travaille plus
sans ses excitants
Quelqu'un leur vend
de quoi tenir le coup
Je suis un électron
bombarde de protons
Le rythme de la ville
C'est ça mon vrai patron
Je suis charge d'électricité
Si par malheur au c?ur
de l'accélérateur
J'rencontre une particule
qui m'mette de sale humeur
Oh, faudrait pas que
j'me laisse aller
Faudrait pas que
j'me laisse aller, non

La bombe humaine,
tu la tiens dans ta main
Tu as l'détonateur
juste a cote du c?ur
La bombe humaine,
c'est toi elle t'appartient
Si tu laisses quelqu'un
prendre en main ton destin
C'est la fin

Bombe humaine
c'est l'arme de demain
Bombe humaine
tu la tiens dans ta main
Bombe humaine
c'est toi elle t'appartient
Si tu laisse quelqu'un
prendre ce qui te tient
C'est la
fin
_________________
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Stefinside



Inscrit le : 17 Mai 2005
Messages: 21

Message Posté le : 17 05 2005 - 16:01    Sujet du message: à ma place Répondre en citant

Axel Bauer/Zazie
à ma place

COUPLET 1 ( A.Bauer )

Serait-elle à ma place plus forte qu'un homme
Au bout de ces impasses où elle m'abandonne
Vivre l'enfer mourir au combat
Faut-il pour lui plaire aller jusque là ?
Ce peut-il que j'y parvienne,
Ce peut-il qu'on nous pardonne
Ce peut-il qu'on nous aime pour ce que nous sommes

COUPLET 2 ( Zazie )

Se met-il à ma place quelques fois ?
Quand mes ailes se froissent et mes iles se noient
Je plie sous le poids, plie sous le poids
De cette moitié de femme qu'il veut que je sois
Je veux bien faire la belle mais pas dormir au bois,
Je veux bien être reine mais pas l'ombre du roi
Faut-il que je cède, faut-il que je saigne
Pour qu'il m'aime aussi pour ce que je suis

(Zazie )
Pourrait-il faire en sorte
( A.Bauer )
Ferait-elle pour moi
( Zazie )
D'ouvrir un peu la porte
( A.Bauer )
Ne serait-ce qu'un pas
( Zazie )
Pourrait-il faire encore
( A.Bauer )
Encore un effort
( Zazie )
Un geste, un pas vers moi
( A.Bauer )
Un pas vers moi

REFRAIN ( Axel Bauer & Zazie )

Je n'attends pas de toi que tu sois la/le même
Je n'attends pas de toi que tu me comprennes
Seulement que tu m'aimes pour ce que je suis

COUPLET 3 ( A.bauer )

Se met-elle à ma place quelques fois
Que faut-il que je fasse pour que tu me voie
Vivre l'enfer, mourir au combat
Veux-tu faire de moi ce que je ne suis pas
Je veux bien tenter l'effort de regarder en face,
Mais le silence est mort et le tien me glace
Mon âme soeur, cherche l'erreur
Plus mon sang se vide et plus tu as peur

( A.Bauer )
Faut-il que je t'apprenne
( Zazie )
Je ne demande rien
( A.Bauer )
Les eaux troubles où je traine
( Zazie )
Où tu vas d'où tu viens
( A.Bauer )
Faut-il vraiment que tu saches
( Zazie )
Tout ce que tu caches
( A.Bauer )
Le doute au fond de moi
( Zazie )
Au fond de toi

REFRAIN ( Axel Bauer & Zazie )


COUPLET FINAL (Axel Bauer & Zazie )

Quand je doute, quand je tombe
Et quand la route est trop longue
Quand parfois je ne suis pas ce que tu attends de moi,
Que veux tu qu'on y fasse,
Qu'aurais-tu fait à ma place ?
_________________
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Stefinside



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Messages: 21

Message Posté le : 17 05 2005 - 16:09    Sujet du message: Répondre en citant

C'est pas ta faute
-M-
Comme un poison dans l?eau
Une bouteille à la mer
Qui n?date pas d?hier
J?essaye de lire entre tes lignes
J?interprète tes soupirs
Tes sourires me font peur

C?est pas ta faute
Si c?est la tempête
La marée haute
Dans ta tête
Ça tangue et tu t?en veux
Amarrée comme tu peux

Côte à côte à contre-courant
J?ai envie d?aller vers
Ton unique univers
Effaré par ta lumière
L?air de rien tu m?éclaires
Alors je rame pour te plaire

C?est pas ta faute
Si c?est la tempête
La marée haute
Dans ta tête
Ça tangue et tu t?en veux
Amarrée comme tu peux

Ça monte ça monte en toi

C?est pas ta faute
Si c?est la tempête
La marée haute
Dans ta tête
Ça tangue et tu t?en veux
Amarrée comme tu peux X2
_________________
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Stefinside



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Messages: 21

Message Posté le : 17 05 2005 - 16:09    Sujet du message: Répondre en citant

Paroles : G. et J. LEDOUX / Musiques : blankass

Il n'est pas si tard tu sais
On pourrait encore trouver
Un petit rien d'humanité
Je reste pour essayer
Je reste pour sauver ce qui reste
De tout ce qu'on a été
Je prendrai tout le temps qu'il nous reste
Au moins pour essayer

On va pas se coucher sur ce qu'on a fait
On va pas se lâcher sans recommencer
Tout reste à relever

Je sais qu'ici c'est le désert
Le désert et l'hiver
Qu'on à bu trop de dernier verres
Mais reprenons de l'air
Et tout remballer pour se barrer
C'est pas vraiment lutter
Je ne suis pas du genre à m'arrêter
Je reste pour continuer

On va pas se coucher sur ce qu'on a fait
On va pas se lâcher sans recommencer
Tout reste à relever

On crée le vide quand on le fuit
On nourrit l'ennemi
Je suis pas du genre à l'oublier
Je reste pour y penser
Tout reste à relever

Tout reste à aimer
Tout reste à aimer
Tout reste à aimer
_________________
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Stefinside



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Message Posté le : 17 05 2005 - 16:10    Sujet du message: Répondre en citant

Hexagone - Renaud

Ils s'embrassent au mois de Janvier,
car une nouvelle année commence,
mais depuis des éternités
l'a pas tell'ment changé la France.
Passent les jours et les semaines,
y a qu'le décor qui évolue,
la mentalité est la même :
tous des tocards, tous des faux culs.

Ils sont pas lourds, en février,
à se souvenir de Charonne,
des matraqueurs assermentés
qui fignolèrent leur besogne,
la France est un pays de flics,
à tous les coins d'rue y'en a 100,
pour faire règner l'ordre public
ils assassinent impunément.

Quand on exécute au mois d'mars,
de l'autr' côté des Pyrénées,
un arnachiste du Pays basque,
pour lui apprendre à s'révolter,
ils crient, ils pleurent et ils s'indignent
de cette immonde mise à mort,
mais ils oublient qu'la guillotine
chez nous aussi fonctionne encore.

Etre né sous l'signe de l'hexagone,
c'est pas c'qu'on fait d'mieux en c'moment,
et le roi des cons, sur son trône,
j'parierai pas qu'il est all'mand.

On leur a dit, au mois d'avril,
à la télé, dans les journaux,
de pas se découvrir d'un fil,
que l'printemps c'était pour bientôt,
les vieux principes du seizième siècle,
et les vieilles traditions débiles,
ils les appliquent tous à la lettre,
y m'font pitié ces imbéciles.

Ils se souviennent, au mois de mai,
d'un sang qui coula rouge et noir,
d'une révolution manquée
qui faillit renverser l'Histoire,
j'me souviens surtout d'ces moutons,
effrayés par la Liberté,
s'en allant voter par millions
pour l'ordre et la sécurité.

Ils commémorent au mois de juin
un débarquement d'Normandie,
ils pensent au brave soldat ricain
qu'est v'nu se faire tuer loin d'chez lui,
ils oublient qu'à l'abri des bombes,
les Francais criaient "Vive Pésaperlipopette",
qu'ils étaient bien planqués à Londres,
qu'y avait pas beaucoup d'Jean Moulin.

Etre né sous l'signe de l'hexagone,
c'est pas la gloire, en vérité,
et le roi des cons, sur son trône,
me dites pas qu'il est portugais.

Ils font la fête au mois d'juillet,
en souv'nir d'une révolution,
qui n'a jamais éliminé
la misère et l'exploitation,
ils s'abreuvent de bals populaires,
d'feux d'artifice et de flonflons,
ils pensent oublier dans la bière
qu'ils sont gourvernés comme des pions.

Au mois d'août c'est la liberté,
après une longue année d'usine,
ils crient : "Vive les congés payés",
ils oublient un peu la machine,
en Espagne, en Grèce ou en France,
ils vont polluer toutes les plages,
et par leur unique présence,
abîmer tous les paysages.

Lorsqu'en septembre on assassine,
un peuple et une liberté,
au c?ur de l'Amérique latine,
ils sont pas nombreux à gueuler,
un ambassadeur se ramène,
bras ouverts il est accueilli,
le fascisme c'est la gangrène
à Santiago comme à Paris.

Etre né sous l'signe de l'hexagone,
c'est vraiment pas une sinécure,
et le roi des cons, sur son trône,
il est français, ça j'en suis sûr.

Finies les vendanges en octobre,
le raisin fermente en tonneaux,
ils sont très fiers de leurs vignobles,
leurs "Côtes-du-Rhône" et leurs "Bordeaux",
ils exportent le sang de la terre
un peu partout à l'étranger,
leur pinard et leur camenbert
c'est leur seule gloire à ces tarrés.

En Novembre, au salon d'l'auto,
ils vont admirer par milliers
l'dernier modèle de chez Peugeot,
qu'ils pourront jamais se payer,
la bagnole, la télé, l'tiercé,
c'est l'opium du peuple de France,
lui supprimer c'est le tuer,
c'est une drogue à accoutumance.

En décembre c'est l'apothéose,
la grande bouffe et les p'tits cadeaux,
ils sont toujours aussi moroses,
mais y a d'la joie dans les ghettos,
la Terre peut s'arrêter d'tourner,
ils rat'ront pas leur réveillon;
moi j'voudrais tous les voir crever,
étouffés de dinde aux marrons.

Etre né sous l'signe de l'hexagone,
on peut pas dire qu'ca soit bandant
si l'roi des cons perdait son trône,
y aurait 50 millions de prétendants
_________________
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Message Posté le : 17 05 2005 - 16:13    Sujet du message: Quatre-vingt-quinze fois sur cent Répondre en citant

George Brassens
Quatre-vingt-quinze fois sur cent

La femme qui possède tout en elle
Pour donner le goût des fêtes charnelles
La femme qui suscite en nous tant de passion brutale
La femme est avant tout sentimentale
Mais dans la main les longues promenades
Les fleurs, les billets doux, les sérénades
Les crimes, les folies que pour ses beaux yeux l'on commet
La transporte, mais...

Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
A l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère
S'il n'entend pas le coeur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas

Sauf quand elle aime un homme avec tendresse
Toujours sensible alors à ses caresses
Toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir
Ell' s'emmerd' sans s'en apercevoir
Ou quand elle a des besoins tyranniques
Qu'elle souffre de nymphomanie chronique
C'est ell' qui fait alors passer à ses adorateurs
De fichus quarts d'heure

Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
A l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère
S'il n'entend pas le coeur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas

Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'ell' crie pour simuler qu'ell' monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux menson(ges)
C'est à seule fin que son partenaire
Se croie un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu

Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
A l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère
S'il n'entend pas le coeur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas

J'entends aller de bon train les commentaires
De ceux qui font des châteaux à Cythère
"C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit
Qu'elle conserve toujours son sang-froid"
Peut-être, mais les assauts vous pèsent
De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise
Mesdam's, en vous laissant manger le plaisir sur le dos
Chantez in petto...

Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
A l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère
S'il n'entend pas le coeur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
_________________
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